Confinement et qualité de l’air
Date de publication : 24/03/2020Avec le confinement, la qualité de l’air s’améliore globalement en France. Toutefois, faites attention à la qualité de l’air intérieur du domicile. En effet, même si cela semble contre-intuitif, la pollution dans les logements est fréquemment plus importante qu’à l’extérieur.
Confinement et qualité de l’air extérieur
En région Île-de-France, en Auvergne Rhône-Alpes ou encore en Bourgogne, le confinement de la population, dû à la pandémie du coronavirus Covid-19, impacte positivement la qualité de l’air. D’après les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air et les données récoltées par les stations de mesure, le taux de particules fines diminue jour après jour. La baisse du trafic routier retentit également sur le taux de dioxyde d’azote. Dans l’ensemble, on respire donc mieux dans les villes de France, surtout celles habituellement polluées. Il faut toutefois préserver également la qualité de l’air intérieur, dans nos maisons et appartements.
Limiter la pollution de l’air intérieur
Dans ce contexte de confinament, nous passons plus de temps dans nos logements. Vous êtes peut-être aussi enclin à effectuer des tâches qui génèrent des polluants : bricolage, peinture, nettoyage à grand renfort de produits ménagers, etc. Pour maintenir une bonne qualité de l’air intérieur, importante en termes de confort et de santé humaine, voici quelques conseils :
- Évitez le tabagisme et l’inhalation de fumée de manière générale
- Pensez à aérer les pièces à vivre en les ouvrant sur l’extérieur de temps en temps
- Vérifiez les étiquetages des produits désodorisants à combustion, des produits d’entretien et des matériaux de construction et limitez éventuellement leur usage.
Particuliers ou professionnels, prenez soin de vous et de l’air que vous respirez.